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法語(yǔ)閱讀:擊劍(奧運(yùn)項(xiàng)目法語(yǔ)介紹)

作者:   發(fā)布時(shí)間:09-12  來(lái)源:育路多語(yǔ)種頻道
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擊劍運(yùn)動(dòng)是一項(xiàng)歷史悠久的傳統(tǒng)體育運(yùn)動(dòng)項(xiàng)目。早在遠(yuǎn)古時(shí)代,劍就是人類為了生存同野獸進(jìn)行搏斗和獵食所使用的工具。隨著人類歷史的發(fā)展,劍由最初的石制、骨制發(fā)展到青銅制、鐵制,最后到鋼制,并作為戰(zhàn)爭(zhēng)的武器,逐步走上歷史舞臺(tái)。擊劍在古代埃及、中國(guó)、希臘、羅馬、阿拉伯等國(guó)家十分盛行。公元前11世紀(jì),古希臘就出現(xiàn)了擊劍課,并有劍師講課。有關(guān)古老的擊劍形式,在希臘、埃及等國(guó)家中的一些歷史建筑和紀(jì)念碑上都可見到關(guān)于擊劍的浮雕。
  在中世紀(jì)的歐洲,擊劍與騎馬、游泳、打獵、下棋、吟詩(shī)、投槍一起被列為騎士的七種高尚運(yùn)動(dòng)。為了研究和推動(dòng)擊劍技術(shù)的發(fā)展,歐洲各國(guó)紛紛成立擊劍行會(huì)(協(xié)會(huì)和學(xué)校)。 西班牙被認(rèn)為是現(xiàn)代擊劍運(yùn)動(dòng)的搖籃,第一本擊劍書籍就由兩位西班牙教練編著。
  擊劍運(yùn)動(dòng)真正得到全面的發(fā)展還是在法國(guó)亨利三世和亨利四世時(shí)期。1776年,法國(guó)著名擊劍大師拉•布瓦西埃發(fā)明了面罩,這一發(fā)明使擊劍運(yùn)動(dòng)進(jìn)一步走上了高雅道路。人們戴上面罩、手套,穿上擊劍服,就可以安全地進(jìn)行一連串的攻防交鋒。面罩的問(wèn)世是擊劍運(yùn)動(dòng)發(fā)展的一個(gè)里程碑。法國(guó)成為當(dāng)時(shí)歐洲擊劍運(yùn)動(dòng)的發(fā)展中心。
  16世紀(jì)末和17世紀(jì)初的歐洲盛行決斗。在這種形勢(shì)下,為了滿足人們對(duì)擊劍的愛(ài)好和需要,又不至于傷害生命,一種劍身較短并呈四棱形,劍尖用皮條包扎的新型劍被設(shè)計(jì)出來(lái),受到人們的普遍歡迎,并得到廣泛開展,這便是現(xiàn)在花劍的雛形。從此,在歐洲的習(xí)武廳、擊劍廳及專業(yè)學(xué)校里,花劍的擊劍方式逐漸形成并日趨完善。
  熱衷于決斗的紳士和貴族從1885年開始,在習(xí)武廳進(jìn)行練習(xí)時(shí),使用三棱形劍,交鋒不限制部位,這就是延續(xù)至今的重劍。
  18世紀(jì)末,匈牙利人對(duì)東方波斯人、阿拉伯人及土耳其人早期騎兵用的彎型短刀,進(jìn)行了改革,于劍柄上裝配了一個(gè)象彎月形的護(hù)手盤,在擊劍時(shí)可以起到保護(hù)手指的作用。后來(lái),意大利擊劍大師朱賽普•拉達(dá)葉利將它進(jìn)一步改進(jìn),使它能在擊劍運(yùn)動(dòng)和決斗中使用,并根據(jù)騎兵作戰(zhàn)的特點(diǎn),規(guī)定有效部位為腰帶以上,這便成為現(xiàn)代佩劍的前身。至此,人們?cè)趶氖聯(lián)魟r(shí)就可以自由地選擇花劍、重劍和佩劍。
  19世紀(jì)初,在法國(guó)擊劍權(quán)威拉夫熱耳的倡議下,將花、重、佩這三種不同式樣的劍的重量再加以減輕,同時(shí)對(duì)一些技術(shù)原理及戰(zhàn)術(shù)意義進(jìn)行深入研究,并且在一些歐洲國(guó)家經(jīng)常開展競(jìng)賽活動(dòng)。擊劍運(yùn)動(dòng)由此逐漸成為國(guó)際性的體育競(jìng)賽項(xiàng)目,并最早成為奧林匹克大家庭中的一員。

Les premières traces de l’escrime
  Que l’on considère l’escrime comme un art d’agrément ou une science des armes, un moyen d’éducation ou un sport, ce qui ressort de son étude est sa richesse. Richesse d’une histoire millénaire, d’une technicité importante et d’un palmarès élogieux, richesse de champions et de maîtres qui forcent le respect, et surtout richesse des valeurs que l’escrime a su générer et qu’elle cherche à inculquer aujourd’hui à travers sa pratique.
  L’histoire de ce sport est très éloquente, elle retrace souvent celle de l’humanité à travers celle de l’épée et, si l’on analyse le caractère de l’art des armes, on s’aperçoit bien vite qu’il correspond à celui des moeurs de l’époque dans laquelle il s’inscrit. L’Homme chercha toujours à s’armer contre la nature et contre l’Homme, et ce depuis Caïn ; il utilisa sa force, fit appel à son matériel, améliora sa dextérité et se servit de son intelligence. L’histoire de l’escrime en est un vibrant témoignage.
  Les pharaons inventent le masque et la compétition
  Quatre bons siècles avant les Jeux olympiques de la Grèce antique, un bas-relief du temple de Médinet-About en Haute - Egypte et construit par Ramsès III en 1190 avant J.-C., évoque une compétition sportive organisée par le pharaon pour célébrer sa victoire sur les Libyens. Les armes - certainement des « bâtons à plaques » - sont mouchetées par un renflement bien visible. Les mains sont protégées par une garde analogue à celle d’un sabre, et certains des escrimeurs ont la figure protégée par un masque dont la mentonnière en bourrelet, couvrant les deux oreilles, est rattachée à la perruque. Le bras non armé sert à parer et il est protégé d’une sorte de bouclier.
  La traduction des hiéroglyphes nous apprend que les adversaires s’interpellaient « En garde... et admire ce que va faire ma vaillante main ! », et que des spectateurs ne ménageaient pas les encouragements à leurs favoris : « Avance-toi ! O excellent combattant ! ». Le vainqueur salue de son arme et de la main le pharaon qu’accompagne sa suite. Le public est composé d’Assyriens, de Libyens et d’Égyptiens ; le jury et les organisateurs sont reconnaissables à la plume qu’ils arborent. Un scribe note sur un papyrus les résultats de la compétition.
  Les jeux de l’Olympe
  Il faut traverser les âges et se transporter en Grèce pour retrouver en l’hoplomachie (combat en armes seul à seul) les traces d’une compétition où des prix étaient proposés aux vainqueurs, des « hommes faits ou enfants ». Nombre d’entre nous savent que l’escrime était au programme des premiers jeux de l’ère nouvelle, en 1896, beaucoup ignorent qu’elle le fut certainement aux premiers Jeux olympiques, en 776 avant J.-C. Attentifs à former également le corps et l’esprit de leur jeunesse, les Grecs avaient mis à l’honneur tous les Jeux préparant à la profession des armes. Des combats Olympiques où les athlètes (mot dérivé du grec «combat»)devaient être grecs, libres et sans reproche.
  Si les premiers lauriers attribués lors de ces épreuves nous sont malheureusement inconnus, dans le Dictionnaire des Antiquités grecques et romaines, nous apprenons par contre qu’au IIIe siècle, à Téos, en Grèce, l’hoplomachès (maître d’armes) était payé 300 drachmes : bien plus que le maître de tir à l’arc ou que celui de javelot. Ce livre évoque, au Ve siècle, deux maîtres de grande réputation (Euthydème et Dyonysodore) qui enseignaient l’hoplomachie (escrime) moyennant une forte rémunération.

L’escrime de pointe des romains
  En 648 avant J.-C., l’enseignement de l’escrime, ou armatura, fut introduit dans les camps romains par le consul Rutilius, afin que « le courage se joigne à l’art, et l’art au courage ». Ainsi, l’escrime se fortifia de l’impétuosité du courage, alors même que le courage empruntait à l’escrime la science et l’habileté.
  L’escrime se pratiquait à deux mains : l’une parait les coups à l’aide du bouclier, l’autre les donnait avec le glaive. Les mauvais élèves des officiers instructeurs (lanistes, campiducteurs ou rudiaires) étaient privés de blé et recevaient forte ration d’orge et de coups de fouet (Virgile, l’Enéide, livre I). Leurs « doctores armorum » établirent des règles pour éviter ou porter plus adroitement un coup. En l’occurrence, ils conseillaient l’utilisation du coup de pointe, plus mortel que les coups de tranchant.
  De la chevalerie aux fines lames
  Pour le chevalier ou l’écuyer, l’escrime faisait partie de la bonne éducation qu’il devait recevoir avant sa consécration par «l’adoubement», «l’investiture». Le métier des armes était long et pénible pour le jeune noble, jusqu’au jour solennel où, enfin, l’épée bénite, symbole de gloire, de justice et de valeur morale, lui était remise avec l’écu et la lance. L’initiation terminée et l’accolade donnée, on laissait aller le noble chevalier vers les combats singuliers pour la défense des faibles et des opprimés, mais également vers les tournois qui représentaient une source de profits : le chevalier recevait le cheval et l’armure de l’adversaire qu’il avait déconfit avec les armes courtoises ou émoussées.
  L’arrivée des armes à feu et l’invention de Gutenberg furent déterminantes pour l’escrime, qui vit ses armes allégées et ses techniques vulgarisées. Avant ces inventions, cette occupation principale de la noblesse et de l’élite de la société était surtout une science occulte et les bottes secrètes étaient aussi recherchées que la pierre philosophale ou l’élixir de longue vie. De cette connaissance dépendait plus que la vie, la justice et l’honneur.
  L’escrime pour l’honneur, la justice et la foi
  Aux XIIe et XIIIe siècles, on rencontre déjà en France des «donneurs de leçons» et de conseils en escrime, dont la fonction était de préparer au duel judiciaire et, parfois, moyennant de fortes sommes, de remplacer sur le terrain les parties en présence. C’étaient les avocats d’armes, qui devinrent les « bravi » de Lombardie et les maistres joueurs et escrimeurs d’épée.
  Les duels judiciaires eurent lieu jusqu’au XVIe siècle. La vérité et le bon droit ne pouvaient que triompher dans ces «jugements de Dieu» où l’épée tranchait et séparait le vrai du faux ; la foi, pour laquelle la gloire n’était que vanité, ne pouvait exalter la valeur qu’au travers du filtre d’un but hautement moral.
  À la suite de quelques erreurs judiciaires où «la main de Dieu» eut moins de poids que la puissance de l’escrime, l’ordalie (du vieil anglais ordal et du germanique urthel) fut finalement supprimé au profit d’une justice plus humaine. Il n’en demeure pas moins que les symboles de l’épée et de la justice ont traversé les siècles et sont aujourd’hui encore associés, imprégnant l’escrime d’une éthique forte.

Renaissance de l’escrime, un talent de cour
  L’escrime de pointe, qui, selon Vegèce, permit les succès des soldats romains, est presque inexistante au Moyen Âge, car la seule loi est alors celle du plus fort, dans des combats où la masse d’armes, la hache d’armes, la hallebarde ou l’épée à deux mains ne sauraient s’accommoder de la finesse de l’escrime de pointe.
  Cette technique refait pourtant surface au XVIe siècle. Les armures disparaissent, car le «tonnerre de la terre», la poudre, les a rendues obsolètes. De ce fait, les armes se modifient, les épées deviennent peu à peu un détail vestimentaire : elles ne sont pas forcément plus courtes, mais leur centre de gravité est ramené vers la main, elles sont désormais plus légères et tenues d’une seule main. Les méthodes italienne et espagnole se répandent en France, prônant la supériorité du coup de pointe et précisant les différentes techniques d’attaque et de défense.
  Les avocats d’armes, les maistres joueurs et escrimeurs d’épée portaient d’abord leur enseignement sur la défensive, qui consistait à garder l’adversaire à distance (la « misura » ou mesure), à esquiver les coups ou à « ruer » l’attaque adverse. La seconde préoccupation était la recherche du « temps », moment propice pour attaquer, à mesure, et hors temps adverse. Du fait de l’allégement des armes et de leur prise à une main, la défensive va être confiée à un bras. Ce bras sera d’abord armé du bouclier ou du broquel, du brachium ou de la rondache,puis d’une dague, ou même d’un manteau roulé.
  Le perfectionnement des armes au niveau de la garde va ensuite permettre de réunir, en une seule arme, l’offensive et la défensive ; certains y voient la véritable naissance de l’escrime. On verra ainsi des gardes compliquées, tourmentées, dans lesquelles la lame adverse devait se perdre, se bloquer ou se casser. Enfin, apparaît la rapière, ou brette, à coquille profonde, abritant bien la main. Son utilisation, combinée à celle de la dague, va permettre d’augmenter le potentiel défensif et offensif, tout en sécurisant l’attaque.
  L’essor de l’escrime italienne
  Les auteurs et maîtres espagnols Pons de Perpignan et Pedros de Torre marquèrent l’escrime d’une empreinte universelle, et l’Anversois Gérard Thibaulst s’est inspiré de leur enseignement pour écrire, en 1628, un livre qui deviendra célèbre dans le milieu des escrimeurs, Académie de l’Espée, un ouvrage aussi intéressant par les planches que parfois indigeste par le texte. Mais la gravité froide et quelque peu prétentieuse de l’escrime espagnole passa de mode au début du XVIIe siècle, laissant la voie libre à l’escrime italienne.
  Les maîtres d’armes italiens affluèrent à la cour des rois de France, de Charles IX à Louis XIII. Ils s’y maintiendront jusqu’à la Révolution. Les plus connus sont Pompée et Silvie. De leur côté, les maîtres français n’hésitaient pas à fréquenter les salles d’armes de la péninsule. Ils y rencontraient la noblesse française, en mal de duels, qui préférait la défense de son épée à celle des avocats du roi.
  À cette époque, les progrès de l’escrime italienne et française vont de concert, comme en témoignent rencontres et duels retentissants entre les deux nations, mais aussi les traités d’escrime qui commencent à fleurir : Agrippa (1553), Marozzo (1566), Fabris (1603), Capo Ferro (1610), etc. Mais c’est véritablement avec Viggiani que le «développement» de l’escrimeur cesse d’être un vain mot pour devenir une technique à part entière : les gardes, la mesure et le moment favorable à l’attaque (temps) apparaissent comme les préoccupations premières.

 Escrime française, le fleuret conventionnel
  Avant le milieu du XVIIe siècle, il n’y a que peu de Français parmi les maîtres célèbres ; Noël Carré, Jacques Ferron, le Flamand,Petit -Jean et, bien sûr, Sainct -Didier, sont les seuls maistres en faict d’armes connus qui aient enseigné la noble science des armes à la cour la plus querelleuse du monde. Henry de Sainct-Didier fut non seulement le premier auteur français (1573), le premier à nous parler du « floures » ou fleuret, mais également le premier véritable pédagogue. Il ne sera imité que 60 ans plus tard, en 1635, par Le Perche du Coudray : rares sont les dextres aussi habiles au maniement de la lame que de la plume, même si escrime et écriture se ressemblent de plus en plus. Molière ne fera rien pour rapprocher ces «sciences» et leurs maîtres ; mais son Bourgeois Gentilhomme restera toutefois un document remarquable sur plus d’un point. Il résumera fort justement l’escrime à «l’art de toucher sans être touché». Ainsi dans le combat, tout l’art consistait d’abord à ne pas être touché et à toucher si l’on peut.
  C’est vraiment sous Louis XIV (à qui l’on doit le raccourcissement de l’épée de cour) que la méthode française commence à se distinguer, surtout par l’adoption du fleuret court, terminé par un esteuf ou mouche. L’escrime de pointe se perfectionne, les mouvements sont plus rapides et plus compliqués et ne sont freinés que par l’absence du masque, qui bride la fougue des tireurs.
  Pour éviter les accidents, chaque tireur donnait un coup simple, que l’adversaire cherchait à parer sans riposter ; l’attaquant se relevait et attendait la riposte (à temps perdu) de son adversaire. Pas de remise ni d’arrêts qui auraient pu égarer la pointe.
  La naissance de l’escrime moderne
  Les règles et la convention permirent à l’escrime «de la touche» de prendre le haut des armes, pour ne plus le quitter. Ce jeu courtois et élégant du fleuret convenait fort bien au jeu tout aussi conventionnel de la cour du roi de France Louis XIV. Toutefois, hors la cour et la salle d’armes, les conventions s’oubliaient parfois pour laisser la place au duel ; les élégances n’étaient pas toujours de rigueur et l’escrime était plus réaliste et souvent plus meurtrière.
  Progrès et essor de l’escrime
  La classification des actions, la définition des termes et les méthodes d’enseignement furent progressivement établies par des maîtres français qui laissèrent de remarquables écrits : Le Perche du Coudray (maître d’armes de Cyrano) en 1635 et 1676, Besnard en 1653 (maître de Descartes), de la Touche en 1670, le Toulousain Labat en 1690.
  La phrase d’armes ne fut réellement créée qu’avec l’apparition du masque à treillis métallique (remplaçant ceux en fer blanc avec ouvertures), dont Girard parle déjà en 1736, et qui permit les remises, les arrêts, les redoublements et les contre-ripostes. La Boëssière(père) en démontra l’importance et l’imposa. Les maîtres Danet (1766) et La Boëssière (1766) apportèrent leur touche à l’élaboration d’une méthode française à la fois révolutionnaire et conventionnelle.
  Conventionnelle, elle le devenait parce que de plus en plus codifiée et réglementée dans sa pratique. Révolutionnaire, elle l’était par la technique mais surtout parce que la Révolution avait changé les mentalités. La noblesse, ou ce qu’il en restait, n’était plus la seule à vouloir porter l’épée et à pouvoir le faire; les bourgeois, les gens de plume fréquentaient de plus en plus la salle d’armes et le pré aux clercs. La liberté progressait de chaque côté de la poignée.
  L’escrime moderne naquit véritablement au début du XIXe siècle, le romantisme la consacra grâce à des maîtres comme Lafaugère (1815), Gomard (1845),Grisier (1867), Cordelois (1872), ou Bertrand, tireur incomparable et démonstrateur hors ligne qui modifia la garde, perfectionna la riposte, établit les règles pour les temps, les coups d’arrêts, les remises et les redoublements.

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